Conférence de Julien Bobroff, professeur à l’Université Paris-Saclay.

Le public est invité à voir la physique autrement, avec Julien Bobroff et sa conférence où le monde quantique tient dans la paume d'une main. Plus d'infos

Notre prochain « Mardi des alumni » accueillera, le 27 mai prochain à 18h30 aux Salons, Luis Lema, grand reporter au Temps et ancien correspondant aux Etats-Unis, qui partagera avec nous ses réflexions sur le phénomène Trump lors de sa conférence intitulée « Donald Trump, président, dictateur, pape ? ». Une séance de questions et un apéritif viendront clore la soirée. Les alumni peuvent inviter une personne accompagnante et s’inscrivent en cliquant sur le bouton bleu à droite ("S'inscrire").

Trop lointaines, trop proches de leur étoile, les exoplanètes restent invisibles, même pour les télescopes les plus puissants. Cette exposition en plein air le long du Quai Wilson proposera une autre approche: réinventer l’invisible par l’imaginaire. Plus d'infos

Vernissage le 5 mai, à 18h, sur inscription. 

Comment se conjuguent une écriture et un territoire ? Cette visite guidée inédite propose d’explorer certains lieux genevois qui ont compté dans l’existence et dans l’œuvre littéraire d’Albert Cohen (Corfou 1895 – Genève 1981). Elle emprunte les trajectoires des personnages créés par l’auteur de Belle du Seigneur, tout en dévoilant des aspects de la vie privée et publique de ce dernier.

Du Petit Palais au quartier des Banques, du parc des Bastions à l'Université en passant par la Synagogue Beth Yaacov, la promenade permettra de redécouvrir des lieux familiers associés aux thèmes majeurs de la « geste cohénienne » : reconnaissance, amour, exil, mort, judéité, rapport au corps, calvinisme, argent...

Décors de l’entre-deux-guerres dans les œuvres de fiction, scènes de la vie quotidienne – tantôt prosaïque, tantôt sublime – d’Albert Cohen, les sites et les édifices apparaissent comme les témoins d’une histoire genevoise qui s’est inscrite dans la pierre et dans l’imagination d’un écrivain.

À travers des récits mêlant fantastique, mysticisme et introspection, le cycle Visions du futur met en lumière les dimensions les plus oniriques de la science-fiction. Chaque film ouvre une porte vers un monde à la fois étrange et familier, où l'on interroge les liens qui unissent l'humain à l'univers, la mémoire à l'instant présent, l'intelligence artificielle à la conscience humaine. Par des compositions visuelles époustouflantes et des mises en scène intimistes, le grand cinéma de science-fiction nous pousse à ressentir, à contempler, à méditer. Loin des univers bruyants et saturés de certaines superproductions, ces œuvres privilégient le silence, l’espace, le vide et l’infini. Par leur capacité à nous transporter au-delà de ce que nous connaissons, ces Visions du futur nous plongent dans des univers où les frontières du réel et de l’imaginaire s’entrelacent.

À travers des récits où l’humain fait face à des forces incommensurables le renvoyant à sa petitesse, à sa fragilité et à sa propre finitude, les cinéastes nous invitent à repenser à notre place dans le cosmos.